Memidis Pharma sera présente le 31 mai lors de la Journée d’étude postuniversitaire de la VVOG : “preventie en behandeling van HPV-gerelateerde cervixpathologie” (« Prévention et traitement des pathologies du col de l’utérus liées aux infections à papillomavirus humains (HPV)). La Journée d’étude postuniversitaire (une co-organisation de la VVOG et à chaque édition, l’un des quatre maîtres de stage universitaires y participe) se tiendra à Gand. Le thème cette année est : “preventie en behandeling van HPV-gerelateerde cervixpathologie” (« Prévention et traitement des pathologies du col de l’utérus liées aux infections à papillomavirus humains (HPV) »). Le dépistage du cancer du col de l’utérus continue à faire parler de lui : En Flandre, entre 2010 et 2013, donc en à peine 3 ans, nous avons vécu le passage du dépistage annuel (généralement) opportuniste au dépistage bisannuel pour, finalement, aboutir à la campagne de dépistage actuelle de la population organisée tous les 3 ans. L’objectif de la campagne de dépistage de la population se divisait en deux parties : augmenter le taux de couverture et, bien entendu, diminuer le surdépistage. Concernant le taux de couverture, les résultats sont malgré tout un peu en dessous des valeurs attendues : ce taux est passé de 59 % en 2013 à 62 % en 2017. En revanche, le surdépistage a nettement diminué : le pourcentage de participantes pour lesquelles il s’agissait d’un surdépistage a baissé en 2016 à 26,3 %, tandis que ce taux s’élevait encore, en 2013, à 37,8 %. La mission est donc en partie accomplie ! Maintenant que les tests de dépistage sont plus performants et plus abordables, de plus en plus de voix s’élèvent (à tort ou à raison) pour passer au dépistage primaire du HPV. Dans certains pays voisins, la décision à ce sujet a d’ores et déjà été prise. Aux Pays-Bas, on a franchi le pas cette année. Comment envisageons-nous l’évolution des tests de dépistage en Belgique ? Quelles sont les données probantes scientifiques relatives aux tests de dépistage du HPV et à l’analyse cytologique ? Ces tests doivent-ils continuer à être réalisés par des prestataires de soins ou existe-t-il des arguments convaincants en faveur de l’auto-dépistage ? Et quel est l’état actuel des avancées réalisées en matière de vaccination ? Comment allons-nous organiser le dépistage au sein de cohortes vaccinées ? Et comment faut-il interpréter les résultats des tests HPV chez les femmes ayant été vaccinées ? Pour finir, nous voulons à nouveau dresser la liste des données probantes concernant la prise en charge en cas d’anomalies et le suivi après le traitement de lésions. Pour obtenir plus d’informations à ce sujet, rendez-vous sur Site Internet de la VVOG Le 31 mai, nous serons heureux de vous accueillir sur notre stand lors de la Journée d’étude à Gand.